Trancher sur le type de sépulture est souvent un débat difficile pour toute la famille en deuil. Cela reste un vrai casse-tête, surtout si le défunt n’a pas laissé le moindre indice de son vivant. Quoi qu’il en soit, il est important de faire le point entre les origines et les valeurs de chaque coutume. En connaissant tous les détails à ce sujet, la prise de décision peut devenir plus aisée.
Pourquoi choisir l’inhumation ?
L’inhumation renvoie à la sépulture qui consiste à enterrer le corps du défunt dans une tombe. Mais l’endroit dépend surtout des traditions et de la religion. Il peut se manifester en pleine terre ou dans un caveau. Pour les militaires, on parle de mausolée. Cette pratique est surtout appuyée par les chrétiens, les juifs et la plupart des religions. Si l’on doit discuter de coûts, selon le site des Commémorations, l’inhumation prévoit entre 2 500 et 15 000 euros. Le prix varie en fonction du cercueil, de la pierre tombale et des prestations nécessaires.
Pourquoi choisir la crémation ?
Crémer se traduit par brûler le corps du défunt de manière à ce que celui-ci ne devienne plus que cendres. Ces dernières seront ensuite introduites dans une urne funéraire ou bien éparpillées selon la volonté de la famille. Quoi qu’il en soit, cette pratique n’est autorisée que dans un crématorium. Outre cette situation, elle sera considérée comme un crime grave. C’est pourquoi elle demande une autorisation des organismes compétents. En ce qui concerne les tarifs, celle-ci s’annonce moins onéreuse que l’inhumation. Les coûts s’échelonnent entre 1 500 et 7 000 euros.
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